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Fin du défilé par un jour d’hiver avec du vent et de la neige au sol.
La musique est placée à l’avant du reste des troupes à pied, ainsi qu’en témoigne le cliché précédent.
Un petit chien qui a tout l’air d’un pékinois passe lui aussi les troupes en revue avec un serpent dans la gueule ?
On ne peut que noter l’importance singulière des bannières dans cette armée.
L’usage des canons modernes dans l’armée chinoise est alors un phénomène assez récent. La seule armée qui ne soit plus à l’ancienne mode fut celle commandée par Li Hongzhang, 李鴻章 (1823-1901). Ce général, d’une envergure peu commune et mandarin d’exception, confia en 1895 à Yuan Shikai, 袁世凱 (1859-1916), moins brillant mais excellent stratège, le soin de parfaire cette modernisation. Le nombre des chars d’artillerie de l’armée d’Ouroumtchi paraît assez faible, même s’il est vrai…