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Lieu de prise de vue = Tumushuke
Pas d’allusion dans les Carnets. Voir
Bien que la mission n’ait pas pratiqué de fouilles régulières sur ce massif, il a été exploré sommairement à plusieurs reprises entre le moment où la mission a atteint la « passe » le 29 octobre et les premiers jours de novembre. La photographie permet d’apercevoir une partie du système de fortifications au sud, ainsi que la tour rectangulaire et la fente verticale dont Pelliot dit le 31 octobre qu’elle servait peut-être à y faire passer un mât. Voir
Vue prise sans doute du nord-est en regardant à l’opposé, au nord-ouest. Les fouilles de cette partie la plus septentrionale du plateau se sont déroulées sur deux périodes, la première fin novembre et la seconde du 10 au 15 décembre. À droite de la photographie, le corridor est de l’ensemble du tertre D (se référer au plan no 2 dans Mission Pelliot I, Toumchouq). Ensuite, le temple D et, plus loin, l’ensemble plus occidental de la banquette nord et ses prolongements sud-est. Au…
Photographié également à Tumushuke, ce jeune homme porte le même manteau qu’en
Le docteur Vaillant précise que l’habitude de se tenir assis jambes croisées fait que la plupart des habitants de ces régions ont le dos voûté. On pourra voir au fil des photographies réalisées sur chacun des sites où la mission a séjourné quelque temps…
Le 11 décembre, à quelques jours de la fin des fouilles, le petit temple N livre une de ses balustrades basses ornée de têtes d’éléphant qui servait de soubassement à une tombe. Cette trouvaille, ajoutée à celle d’un décor semblable au temple D, le conforte dans l’idée que ces thèmes n’ont pas de rapport avec un autel au dieu Gaṇeśa (
Le personnage précédent (
Pelliot n’a effectué que des examens sommaires du site et a concentré ses efforts sur le Toqquz-Saraï tagh. C’est l’archéologue allemand Albert von Le Coq, qui a fouillé le massif situé au sud de la passe en 1918 mettant au jour les vestiges bouddhiques dont Pelliot avait pressenti l’existence en 1906. Le 31 octobre, Pelliot passe les premières heures de la matinée à explorer – sans Nouette resté aux « ruines » (donc au Toqquz-Saraï) – cette tour rectangulaire qui se dresse à…
Le personnage photographié est né à Tumushuke, appartient à la tribu des Doulan et se nomme Ambrussa. Lui et les deux autres « autochtones » de Tumushuke ont été photographiés par Nouette le 14 décembre, la veille du départ pour Koutcha.
Ce type de cliché anthropologique correspond aux travaux du docteur Louis Vaillant, médecin, zoologiste et docteur en sciences humaines, membre de la mission comme le photographe Charles Nouette. Le docteur Vaillant a publié en 1910 un rapport…
Les ruines qui se trouvent derrière le stūpa, tout au fond, avaient été identifiées dans un premier temps comme des « étables ». Le 4 décembre, la présence de cheminées en fait plus sûrement des habitations. Celle qui s’élève à l’extrémité nord du plateau, au bord du ravin, est décorée de figures grimaçantes dont l’une subsiste.
Le 1er décembre, on dégage le nouvel « autel » orné de statues en torchis de mauvaise qualité. Le jour suivant, cet autel s’avère être un stūpa dont les statues, sur la face avant, ne sont pas posées sur une banquette au contraire des trois autres côtés (voir